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Introduction : Optimiser la Fiscalité de Vos Dividendes et Royalties à Maurice

En tant qu’Euro-Optimisateur, vous savez que la gestion de patrimoine et la structuration de revenus s’étendent bien au-delà des frontières de votre pays de résidence. Dans ce monde globalisé, vos opportunités d’investissement et vos sources de revenus peuvent se situer aux quatre coins du globe. Parmi ces revenus, les dividendes issus de participations dans des sociétés et les royalties perçues pour l’utilisation de droits de propriété intellectuelle (brevets, marques, logiciels, etc.) sont souvent une part significative de votre portefeuille, et en passant par Maurice, vous pouvez optimiser la fiscalité de vos dividendes et royalties.

Mais comment ces revenus sont-ils imposés lorsque les sociétés versantes ou les utilisateurs des droits sont situés dans différents pays ? Les retenues à la source peuvent considérablement réduire ces flux financiers. C’est là qu’une planification fiscale internationale intelligente, légale et transparente entre en jeu. Et c’est précisément là que l’Île Maurice, avec son cadre fiscal et son réseau de conventions fiscales (DTAA), peut devenir un élément clé de votre stratégie d’optimisation fiscale. 

Loin des clichés des paradis fiscaux opaques, Maurice s’est positionnée comme un centre financier international transparent et respectueux des normes. Elle offre des outils pour structurer légalement la perception de certains types de revenus internationaux. Comprendre comment utiliser Maurice pour optimiser la fiscalité de vos dividendes et royalties, tout en respectant les règles de substance économique et de transparence, est essentiel pour tout Euro-Optimisateur averti. 

Cet article vous propose de décortiquer les mécanismes, les avantages potentiels, mais aussi les impératifs de conformité liés à l’utilisation de structures mauriciennes pour la gestion de vos revenus de dividendes et de royalties. Préparez-vous à explorer un aspect clé de la planification fiscale internationale avec une perspective pratique et humaine. 

1. Fiscalité des Dividendes et Royalties à Maurice : Définitions et Enjeux

Avant d’aller plus loin dans l’optimisation fiscale à Maurice, rappelons brièvement ce que sont les dividendes et les royalties : 

  • Dividendes : Il s’agit de la part des bénéfices qu’une société décide de distribuer à ses actionnaires. La perception de dividendes est une source de revenus courante pour les investisseurs détenant des actions de sociétés. 
  • Royalties (ou Redevances) : Ce sont les paiements effectués pour le droit d’utiliser une propriété intellectuelle (un brevet, une marque déposée, un droit d’auteur sur un livre ou un logiciel, un savoir-faire, etc.). Pour les créateurs, inventeurs, artistes, ou entreprises détenant des actifs immatériels de valeur, les royalties peuvent constituer une source de revenus importante. 

La fiscalité de ces deux types de revenus présente des spécificités, notamment en ce qui concerne les retenues à la source appliquées par le pays où se trouve la source du revenu (là où la société distribue les dividendes, ou là où la propriété intellectuelle est utilisée). Ces retenues peuvent varier considérablement d’un pays à l’autre, d’où l’intérêt de l’optimisation fiscale internationale. 

2. Pourquoi Choisir Maurice pour Optimiser la Fiscalité de Vos Dividendes et Royalties ? 

Maurice a mis en place un environnement fiscal et légal particulièrement intéressant pour structurer la perception de revenus de dividendes et de royalties provenant de l’étranger. Plusieurs éléments expliquent cette attractivité pour l’Euro-Optimisateur : 

  • Faible Taux d’Impôt sur les Sociétés : Le taux standard de l’impôt sur les sociétés à Maurice est de 15%. Cependant, pour les sociétés détenant une Global Business Licence (GBC), une exonération partielle de 80% s’applique sur certains revenus de source étrangère, ramenant le taux effectif à seulement 3%. Les dividendes et les royalties de source étrangère sont des revenus éligibles à cette exonération, sous certaines conditions. 
  • Réseau Étendu de Conventions Fiscales (DTAA) : C’est l’un des atouts majeurs de Maurice. L’île a signé des Conventions de Non Double Imposition (CNDI) avec de nombreux pays. Ces DTAAs prévoient souvent des taux réduits de retenue à la source sur les dividendes et les royalties versés par une société résidente d’un pays signataire à une société résidente de l’autre pays signataire (par exemple, une société mauricienne). Sans convention, le taux de retenue à la source appliqué par le pays de la source du revenu pourrait être beaucoup plus élevé. Pour plus de détails, n’hésitez pas à consulter notre Guide de la Structuration Offshore à Maurice. 
  • Pas de Retenue à la Source sur les Paiements Sortants : Généralement, Maurice n’applique pas de retenue à la source sur les dividendes et les royalties versés par une société mauricienne (comme une GBC) à des non-résidents. Cela facilite la distribution des revenus perçus par la structure mauricienne vers les bénéficiaires finaux. 
  • Stabilité et Cadre Réglementaire : Maurice offre un environnement stable et réglementé pour les activités financières internationales, essentiel pour la sécurité de vos structures et de vos revenus. 

Ces caractéristiques font de Maurice une plateforme potentiellement efficace pour centraliser la perception de dividendes et de royalties internationaux, dans le but de réduire la charge fiscale globale grâce à l’application des DTAAs et au régime fiscal mauricien. 

3. La Magie des Conventions Fiscales (DTAA) pour les Dividendes et Royalties 

Le réseau de Conventions de Non Double Imposition (DTAA) de Maurice est l’outil clé de l’optimisation fiscale des dividendes et royalties. Voici un exemple simplifié de son fonctionnement : 

Imaginez que vous détenez des actions d’une société A située dans le Pays X, avec lequel Maurice a signé une DTAA. Sans cette convention, le Pays X pourrait appliquer une retenue à la source de 20% sur les dividendes. Si vous détenez ces actions directement, vous percevez 80% des dividendes bruts. 

Maintenant, imaginez que vous structurez la détention de ces actions via une société mauricienne (GBC) qui a une substance économique réelle à Maurice. Lorsque la société A dans le Pays X verse des dividendes à la GBC mauricienne, la DTAA entre le Pays X et Maurice peut prévoir un taux de retenue à la source réduit, par exemple 5% ou 10%. La GBC mauricienne perçoit donc une part bien plus importante des dividendes bruts. 

Une fois reçus par la GBC mauricienne, ces dividendes de source étrangère peuvent bénéficier de l’exonération partielle de 80%, ramenant le taux d’impôt sur les sociétés à Maurice à 3% sur le montant net perçu. 

Enfin, lorsque la GBC mauricienne vous distribue ces revenus, Maurice n’applique généralement pas de retenue à la source sur ces paiements sortants. 

Le gain fiscal réside dans la différence entre le taux de retenue à la source élevé du Pays X sans la convention, et le taux réduit obtenu grâce à la convention via la structure mauricienne, combiné au faible taux d’imposition à Maurice sur les revenus perçus par la GBC. 

Un principe similaire s’applique aux royalties. Structurer la détention de droits de propriété intellectuelle via une GBC mauricienne peut permettre de bénéficier d’un taux réduit de retenue à la source sur les royalties versées par une société d’un pays partenaire, toujours grâce à la DTAA. Ces royalties perçues par la GBC pourront ensuite bénéficier du régime fiscal mauricien (potentiellement 3% d’impôt sur les sociétés) et être distribuées sans retenue à la source mauricienne. 

Chiffre Clé (Exemple Illustratif) : Imaginez des dividendes de 100 000 € versés par une société dans un pays appliquant 20% de retenue à la source sans convention. Vous recevez 80 000 €. Via une GBC mauricienne et une DTAA prévoyant 5% de retenue, la GBC reçoit 95 000 €. Sur ces 95 000 €, la GBC paie 3% d’impôt à Maurice (environ 2 850 €). Le montant disponible pour distribution est d’environ 92 150 €, distribuables sans retenue à la source mauricienne. Le gain est significatif. (Cet exemple est simplifié et ne prend pas en compte tous les facteurs). 

Il est crucial de noter que l’application des DTAAs et des taux réduits n’est pas automatique. Elle dépend de la nature exacte des revenus, des clauses spécifiques de chaque convention, et du respect des conditions, notamment en matière de substance économique. 

4. La Global Business Company (GBC) : Votre Véhicule de Choix 

La structure la plus couramment utilisée à Maurice pour l’optimisation fiscale légale des dividendes et royalties est la Global Business Company (GBC). C’est une société résidente fiscale à Maurice, ce qui lui permet de se prévaloir des DTAAs signées par l’île et de bénéficier du régime fiscal avantageux sur ses revenus étrangers. 

Pour qu’une société obtienne et conserve son statut de GBC et bénéficie des avantages fiscaux, elle doit remplir des conditions strictes de substance économique à Maurice. C’est le point le plus important et le plus contrôlé aujourd’hui. 

5. L’Impératif de Substance Économique : Bien Plus Qu’une Adresse Postale 

L’époque où une simple “boîte aux lettres” suffisait à bénéficier d’un régime fiscal favorable est révolue. Les règles internationales (BEPS) et la législation mauricienne exigent une substance économique réelle et démontrable pour qu’une GBC puisse être considérée comme un résident fiscal légitime et bénéficier des avantages fiscaux et conventionnels. 

Pour une GBC dont l’activité principale est la détention de participations (pour percevoir des dividendes) ou la gestion de propriété intellectuelle (pour percevoir des royalties), les exigences de substance peuvent inclure : 

  • Locaux physiques : Avoir un bureau ou des locaux appropriés à Maurice. 
  • Personnel qualifié : Employer du personnel qualifié à Maurice pour gérer l’activité (gestion des investissements, gestion des licences de propriété intellectuelle, suivi juridique et financier). Le nombre et la qualification du personnel doivent être proportionnels à la nature et à l’échelle de l’activité. 
  • Dépenses opérationnelles : Engager des dépenses opérationnelles significatives à Maurice (loyers, salaires, frais administratifs, frais professionnels). 
  • Direction et Contrôle : Avoir un conseil d’administration composé majoritairement de résidents mauriciens, avec des réunions du conseil se tenant physiquement à Maurice, où les décisions stratégiques clés sont prises. 
  • Activités principales : Les activités génératrices de revenus (détention d’actions, gestion de la PI) doivent être effectivement gérées et contrôlées depuis Maurice. 

Exemple de Substance pour Royalties : Si votre GBC perçoit des royalties sur un logiciel, la substance pourrait impliquer d’avoir à Maurice des développeurs, des juristes spécialisés en PI, ou du personnel marketing gérant la licence, en fonction de l’activité réelle liée à cette PI. 

Démontrer et maintenir cette substance est crucial. Les autorités fiscales mauriciennes (Mauritius Revenue Authority – MRA) et la Financial Services Commission (FSC) contrôlent activement le respect de ces exigences. Un manque de substance peut entraîner la perte du statut de GBC, l’imposition au taux standard de 15% (sans exonération), ou pire, la remise en cause de la structure par les autorités fiscales de votre pays de résidence ou du pays de la source du revenu. 

6. Fiscalité Détaillée à Maurice pour les Revenus de Dividendes et Royalties via une GBC 

Voyons plus en détail comment les dividendes et royalties sont traités fiscalement à Maurice lorsqu’ils transitent par une GBC : 

  • Dividendes Reçus par la GBC
  • Les dividendes de source étrangère reçus par une GBC sont éligibles à l’exonération partielle de 80%. 
  • Le taux d’impôt effectif sur ces dividendes est donc de 15% * (1 – 80%) = 3%. 
  • Condition : Pour que l’exonération s’applique, les dividendes ne doivent pas être déductibles dans le pays d’où ils proviennent. 
  • Royalties Reçues par la GBC
  • Les royalties de source étrangère reçues par une GBC sont également éligibles à l’exonération partielle de 80%. 
  • Le taux d’impôt effectif sur ces royalties est donc de 15% * (1 – 80%) = 3%. 
  • Condition : L’exonération s’applique aux royalties liées à l’utilisation de droits de propriété intellectuelle. 
  • Dividendes Payés par la GBC
  • Maurice n’applique pas de retenue à la source sur les dividendes versés par une GBC à ses actionnaires non-résidents. 
  • Implication : Les bénéfices (après impôt mauricien) peuvent être distribués librement vers l’étranger sans friction fiscale supplémentaire à Maurice. 
  • Royalties Payées par la GBC
  • Maurice n’applique généralement pas de retenue à la source sur les royalties versées par une GBC à des non-résidents. 
  • Implication : Si votre GBC paie des royalties (par exemple, pour l’utilisation d’une PI que vous détenez personnellement ou via une autre structure), ces paiements ne seront pas taxés à la source à Maurice. 
  • Crédit d’Impôt Étranger : Si la GBC a subi une retenue à la source dans le pays d’où proviennent les dividendes ou royalties (conformément à la DTAA), elle peut généralement imputer cette retenue sur l’impôt mauricien dû sur ces revenus. Cela évite une double imposition partielle. 

Ce régime fiscal, combiné au réseau de DTAAs, explique pourquoi Maurice est une juridiction attractive pour la gestion de ces flux de revenus internationaux et pour l’optimisation fiscale. 

7. Transparence et Conformité : Naviguer dans le Paysage International 

L’optimisation fiscale via Maurice doit s’inscrire dans un cadre de transparence totale et de conformité avec les règles internationales. 

  • Common Reporting Standard (CRS) : Maurice participe activement au CRS. Cela signifie que les informations sur les comptes bancaires et les structures financières détenus à Maurice par des résidents fiscaux d’autres pays sont collectées et échangées automatiquement avec les autorités fiscales des pays de résidence concernés. Vos autorités fiscales sauront que vous avez une structure à Maurice et potentiellement des comptes associés. L’arbitrage fiscal légal ne repose pas sur le secret. 
  • Échanges d’Informations sur Demande : Maurice a également signé des accords d’échange d’informations fiscales sur demande, permettant aux autorités fiscales étrangères d’obtenir des informations spécifiques en cas de besoin. 
  • Lutte contre le Blanchiment et le Financement du Terrorisme : Maurice a renforcé son cadre légal et réglementaire pour se conformer aux normes internationales en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. 
  • Règles Anti-Abus (BEPS) : Les conventions fiscales signées par Maurice intègrent de plus en plus de clauses anti-abus (comme le Principal Purposes Test – PPT) pour s’assurer que la convention n’est pas utilisée dans le seul but d’obtenir un avantage fiscal, sans substance économique réelle. Les autorités fiscales des pays partenaires peuvent refuser l’application de la convention si elles estiment que le montage est abusif. 

Pour un Euro-Optimisateur, cela signifie que la planification fiscale via Maurice doit être irréprochable sur le plan de la substance et de la documentation. Il faut pouvoir justifier la présence et l’activité de la GBC à Maurice. 

8. Aspects Pratiques pour l’Euro-Optimisateur 

Comment concrètement aborder une telle démarche d’optimisation fiscale ? 

  • Analyse de Votre Situation : La première étape est une analyse approfondie de votre situation personnelle (résidence fiscale), de la nature et de l’origine de vos revenus (pays des sociétés versantes de dividendes, pays d’utilisation de la PI), et de vos objectifs. 
  • Éligibilité : Vos revenus de dividendes et royalties sont-ils éligibles au régime GBC et aux bénéfices des DTAAs ? Cela dépend des pays concernés et des conventions spécifiques. 
  • Coût vs. Bénéfice : Mettre en place et maintenir une GBC avec la substance requise a un coût (frais de constitution, frais annuels de gestion, loyer, salaires, honoraires professionnels). Il faut évaluer si les gains fiscaux potentiels justifient ces coûts. Une structure mauricienne n’est pas forcément pertinente pour de petits montants de revenus. 
  • Mise en Place : La création d’une GBC implique des démarches administratives (constitution de société, obtention de la licence GBC, ouverture de comptes bancaires). Cela nécessite l’assistance de professionnels locaux (sociétés de gestion, avocats). 
  • Gestion Courante : Une fois la structure en place, elle doit être gérée activement (tenue de la comptabilité, audits, déclarations fiscales, organisation des réunions du conseil, gestion du personnel et des locaux si nécessaire). 
  • Choix des Partenaires Locaux : La sélection d’une société de gestion et de professionnels locaux fiables et compétents est fondamentale pour assurer la conformité et la bonne gestion de votre GBC. 

Chiffre Clé (Estimation indicative des coûts – Mai 2025) : Les coûts annuels de maintien d’une GBC avec une substance minimale (frais de gestion, audit, frais légaux/fiscaux) peuvent se situer entre quelques milliers d’euros et plus de 15 000 euros, voire beaucoup plus si une substance plus importante (locaux, personnel dédié) est requise. 

9. Risques et Points de Vigilance 

Malgré les opportunités, l’utilisation de structures mauriciennes pour l’optimisation fiscale des dividendes et royalties présente des risques si elle n’est pas abordée correctement : 

  • Absence de Substance : C’est le risque majeur. Si votre GBC n’a pas de substance économique réelle à Maurice, les autorités fiscales (mauriciennes ou étrangères) peuvent refuser de reconnaître sa résidence fiscale ou l’application des DTAAs, entraînant des redressements fiscaux lourds. 
  • Requalification par les Autorités Étrangères : Les autorités fiscales de votre pays de résidence ou du pays de la source du revenu peuvent considérer le montage comme artificiel ou abusif, et tenter de le requalifier pour imposer les revenus directement entre la source et vous. 
  • Évolution des Règles : Le paysage fiscal international est en constante évolution (BEPS, etc.). Il est impératif de se tenir informé et d’adapter vos structures si nécessaire. 
  • Complexité : La planification fiscale internationale est complexe. Une erreur ou une omission peut avoir des conséquences fiscales importantes. 

Une approche prudente, basée sur des conseils d’experts et une conformité rigoureuse, est indispensable. 

Conclusion : Optimiser avec Intelligence et Légalité 

L’Île Maurice offre des opportunités réelles pour les Euro-Optimisateurs souhaitant optimiser légalement la fiscalité de leurs revenus de dividendes et de royalties. Le régime fiscal avantageux pour les GBC et le réseau de DTAAs sont des outils puissants. 

Cependant, l’efficacité et la légalité de ces structures reposent entièrement sur le respect strict des exigences de substance économique et une transparence totale. L’arbitrage fiscal légal n’est pas de l’évasion fiscale ; c’est une planification minutieuse et conforme aux règles internationales. 

Naviguer dans ce domaine complexe nécessite une expertise pointue et un accompagnement personnalisé. Chaque situation est unique, et la pertinence d’une structure mauricienne dépend de nombreux facteurs spécifiques à votre profil et à vos revenus. 

Pour une analyse approfondie de votre situation, des conseils sur la manière d’optimiser légalement la fiscalité de vos dividendes et royalties via Maurice, et un accompagnement pour mettre en place des structures conformes et efficientes, il est indispensable de faire appel à des professionnels spécialisés. 

Pour une assistance dédiée à la structuration de vos revenus internationaux et à l’optimisation fiscale légale avec Maurice, n’hésitez pas à contacter FinEng. Nous sommes là pour vous guider, sécuriser votre planification, et vous aider à prendre les meilleures décisions pour votre patrimoine dans un cadre transparent et légal. 

Contactez FinEng dès aujourd’hui pour une consultation confidentielle et lancez votre stratégie d’optimisation fiscale internationale.